Henri Félix Emmanuel Philippoteaux (1815-1884). “Lamartine repoussant le drapeau rouge devant l’Hôtel de Ville, le 25 février 1848”. Musée des Beaux-Arts de la Ville de Paris, Petit Palais.

L’avènement de Louis-Philippe en août 1830 à la suite des Trois Glorieuses ouvre la voie à la reconnaissance du rôle des individus lors des journées de juillet 1830. Combattant·e·s, blessé·e·s et victimes indirectes peuvent prétendre à une distinction honorifique, une pension ou encore un secours financier.
Ces indemnisations seront étendues en 1833 aux “vainqueurs de la Bastille” de 1789 encore en vie. Ce dispositif sera reconduit pour les combattants de la Révolution de 1848.

Ce jeu de données est constitué de trois dépouillements des dossiers d’indemnisation individuels effectués par les Archives nationales :

Quelques dossiers concernent des événements de 1832, 1834 et 1839.

Les données mises à disposition sont constituées aussi bien d’informations socio-professionnelles sur des individus ayant vécu entre 1750 et 1860, que d’éléments sur la nature de l’indemnisation, voire les lieux et dates des combats pour 1830.

Pensions et secours aux combattants et victimes des révolutions de 1789, 1830 et 1848 (geneactes.fr)

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